"Dal podio dei complessi areniani George Petrou ricama un ordito orchestrale raffinato, asciutto, con suoni rotondi e ben timbrati, dando ragione della singolarissima condizione di questa musica, capace di tenere insieme precisione e follia, rigore metrico e sapidità espressiva, stilizzata eleganza e trascinante vitalità."

(Fabio Larovere, Connessi all'Opera)

"Petrou elicited a fine performance from the Festspielorchester Göttingen, which successfully brought out the beauty and emotional content of each of the musical numbers, and although he altered the pace at which the overall composition was delivered to meet the dramatic needs of the narrative, the delicacy and space that would have been brought through the inclusion of more dry recitatives were compromised. His support for the singer and the overall balance of the musical forces were excellent."

(Alan Neilson, OperaWire)

"Auch wenn das Werk mit vielen musikalischen Zitaten von Kritikern teils als zu seicht, sogar für kitschig befunden wurde – George Petrou schafft es, ihm Tiefe zu geben. Wie mühelos changierend zwischen den Rollen als Dirigent und Pianist und nicht selten auch beides gleichzeitig vollführend gelingt es ihm mit dem GSO, das Publikum – in der leider nicht bis auf den letzten Platz besetzten Stadthalle – ganz in den Bann zu schlagen, in den Tiefen zu berühren."

(Ute Lawrenz, HNA.de)

"George Petrou führt die Musikerinnen und Musiker des Gürzenich-Orchesters Köln äußerst feinfühlig durch die Partitur und arbeitet die unterschiedlichen Farben der Partitur differenziert heraus."

(Thomas Molke, Online Musik Magazine)

"Bien qu’ayant remplacé Antonello Allemandi à la fin des répétitions, George Petrou parvient à insuffler un élan tout rossinien à l’Orchestre de l’Opéra de Rouen Normandie par sa connaissance du style de ce répertoire, sa science des nuances et une belle maîtrise des ensembles et de leurs dynamiques."

(Damien Dutilleul, Olyrix)

"Dans la fosse, George Petrou remplace Antonello Allemandi. Après son Aureliano in Palmira à Pesaro l’été dernier, on n’avait rien à craindre. Il tire le meilleur de l’Orchestre de Rouen Normandie – et du chœur Accentus. Loin de se figer dans la rigueur des conventions du seria, Tancredi reste grâce à lui ce vrai moment de théâtre que la scène ne nous offre pas toujours, et la mise en valeur des timbres rend pleine justice à l’imagination du jeune compositeur."

(Didier Van Moere, Diapason)

"Point de fadeur, en contrepartie, dans la fosse où George Petrou mène l'Orchestre de l'Opéra de Rouen d'une baguette flamboyante, affirmée d'emblée par une ouverture très colorée aux accents héroïques, stigmates d'une direction qui n'aura de cesse de soutenir impeccablement la dramaturgie, de mettre en avant les belles prestations solistes (notamment les vents) de la phalange normande, tout en respectant un parfait équilibre avec les chanteurs."

(Patrice Imbaud, ResMusica)